Les erreurs des oncologues mortelles pour les patients
Publié par Lionel BARRIERE Naturopathe dans Cancers · 29 Avril 2022
Il faut constamment se souvenir de la si importante notion de « TERRAIN » qu’il convient de modifier pour ne plus fournir au cancer un environnement physiologique adéquat où il peut / pourra prospérer, se réinstaller.
« Changer de terrain », ce qui signifie en langage clair changer ses habitudes de vie, autant alimentaires que comportementales.
C’était aussi la base de la théorie et du traitement préconisé par la Doctoresse Catherine Kousmine (1904-1992), qui fut la première à populariser cette notion précurseur de « terrain » !
C.Kousmine fut d’ailleurs, historiquement parlant et tout sexe confondu, la première représentante du monde médical (après HIPPOCRATE !!) à s’intéresser SÉRIEUSEMENT au rôle de l’alimentation en pathologie humaine, notamment son incidence sur le cancer !
Ce qui, à certains égards, est tout-à-fait représentatif de l’état D’IGNORANCE dans lequel nous baignons, dans nos sociétés modernes.
Pour elle, l’apparition du cancer était la résultante d’une importante intoxication progressive de l’organisme.
Ces toxiques provenant en grande partie : - des erreurs alimentaires à répétition ; - de la pollution ; - des médicaments ; - des vaccins ; - du tabac ; - de la sédentarité ; - du surpoids… donc de facteurs sur lesquels nous pourrions (en partie du moins) avec une action remédiante !
« Cette intoxication prolongée finit par épuiser et déborder à son tour les mécanismes et les organes chargés du nettoyage de l’organisme (foie, reins, peau, intestins, poumons). Alors, lorsqu’il est arrivé à un haut niveau d’encrassement, l’organisme n’a pas d’autre choix que de développer un cancer. »
nous explique encore le Dr. Luc Bodin.
Dans cette perspective, le cancer est vu comme un « S.O.S » destiné à nous signaler qu’il y a quelque chose à changer en nous si nous voulons recouvrer l’état de pleine santé !
C’est aussi pour cette raison que l’éradication du cancer, pour vitale qu’elle soit, n’est pas suffisante sans une réforme en profondeur de nos habitudes comportementales.
Que la tumeur soit éradiquée par les traitements conventionnels seuls, les traitements naturels seuls ou les deux combinés, si le « terrain » cancéreux n’est pas réformé, un autre cancer reviendra OBLIGATOIREMENT , à plus ou moins long terme.
Ce sera soit le même cancer dans le cas d’une récidive, soit un autre cancer qui se fixera sur le même organe ou un organe différent...
En modifiant son « terrain », on minimise cependant la possibilité de développer un autre cancer.
D’un point de vue « physique », cela passe donc (je me répète !) par :
- un régime alimentaire riche en fruits et légumes, - en aliments alcalins, - un mode de vie plus sain, - moins sédentaire, - une meilleure oxygénation, - le recours à la phytothérapie, - la prise de silicium organique, - la consommation d’eau minérale, filtrée ou alcaline, etc.
De plus, cela contribuera à faire baisser le Facteur Déclencheur de la majeure partie des maladies chroniques dégénératives et environnementales « dites de civilisation » (à l’origine des : - maladies coronariennes ; - diabètes ; - cancers ; - accidents vasculaires cérébraux ; - allergies ; - maladies auto-immunes ; - Alzheimer ; - Parkinson ; - dépressions et autres…) :
Je veux parler de : L’inflammation Chronique ! Fléau des temps modernes ( = le grand coupable ), même si encore largement méconnue, par négligence, ou non pris en compte à la valeur qu’elle devrait…
« On veut nous faire croire que le cancer doit être combattu comme on combat une maladie aigüe, c’est-à-dire le plus vite possible et de la façon la plus massive possible, chaque jour perdu étant un jour qui diminue les chances de guérison. En réalité, le cancer est toujours une maladie chronique et doit être traité comme toutes les maladies chroniques : une thérapeutique qui vise l’état général du patient doit toujours être préférée à un traitement agressif et hâtif ! »
rappelle avec sagesse le naturopathe Patrick Pétri, diplômé de la Heilpracktikerfachschule de Bochum en Allemagne et lui aussi particulièrement confronté aux cancers de ses patients.
Pour lui et l’ensemble des thérapeutes qui se font un devoir de rester fixés sur la santé plutôt que de se centrer sur la maladie :
« L’être humain est un composé de corps, d’âme et d’esprit, la pleine santé résultant de l’état d’équilibre maintenu entre ces trois constituants. Toute médecine qui ignore l’un ou l’autre est fragmentaire par définition, et, par-là, se condamne d’elle-même à l’erreur conduisant inévitablement à des fautes d’appréciation, à des souffrances et à la mort »
« CANCER : ÉVITER, SOIGNER, GUÉRIR PAR LES MÉDECINES NATURELLES », Patrick Petri, 1985.
(Source : livre de Xavier Panoria "Thérapeutique naturellen anti-cancer")
Pour finir :
Les nouveaux traitements anticancéreux sont onéreux, mais leur efficacité est-elle en proportion aussi élevée comparativement aux produits de référence ? C'est à cette question que trois chercheurs ont tenté de répondre en récoltant les retours d'observations faites aux Etat-Unis, en Australis, au Royaume-Uni et en France. Résultats : quel que soit l'indicateur utilisé (durée de survie, qualité de vie, tolérance), aucune amélioration réellement significative n'a été observée. Dans le même temps, une autre équipe comparait le rapport entre l'efficacité et le coût de 65 produits anticancéreux en Allemagne, en Angleterre, en Suisse et aux Etat-Unis : là encore, il n'existe aucune relation entre les bénéfices observés et le prix des traitements. (Source : Alternative Santé N°81).
Fin : Sur 500.000 cancéreux suivis, 50 % sont décédés de leurs traitements, oui vous ne révez-pas...
Il n'y a toujours pas des critiques.